Damascus Underground - film night
Stars in Board Daylight - Ossama Mohammed- 1988,101, AR sous-titré en EN”
Lauréat du premier prix au Festival de Valence et au Festival international de Rabat, le film explore l’effet toxique du totalitarisme sur les Syriens, vu à travers les batailles internes d’une famille dysfonctionnelle. Drôle, violent et brutal, Stars in Broad Daylight est certainement l’un des chefs-d’œuvre du patrimoine cinématographique syrien.
Courts-métrages
Une sélection de courts-métrages représentatifs du travail de réalisateurs et de collectifs d’artistes syriens indépendants très engagés depuis 2011. De l’intérieur de Damas, Reem Al-Ghazzi nous dévoile une partie de ses « Journaux », très courts essais filmiques d’une grande poésie réalisés entre 2012 et 2014, et un film du collectif Peace Lens, qui tente depuis 2015 de contribuer à la reconstruction de l’identité visuelle syrienne à travers des ateliers autour du cinéma documentaire. Nous vous présentons notamment le travail de Ammar al-Beik, ex-artiste et ex-footballer comme il aime se définir, ainsi que celui du collectif anonyme Waw Al Wassel et de Anna Banout. Ce choix ultra subjectif est une invitation à explorer des films et des images qui vont vous surprendre par leur esthétique et leur discours. Une sélection totalement « underground »:
Diaries, Reem Al-Ghazzi, Syrie, 2012-2014, AR sous-titré en EN
2000 Watt, Light in the Rear , Peace Lens, Syrië, 2018, AR sous-titré en EN
La Dolce Siria, Ammar al-Beik, 2015, AR sous-titré en EN
My Ear Can See, Ammar Al Beik, 20O2, AR sous titré en EN
identity: other, Anna Banout, 2016, EN
Syria 2087, Ana Bannout, 2017, AR sous-titré en EN
The Boot, Waw Al Wassel, 2013
CURATED BY JUMANA AL-YASIRI
icw Nova & Moussem